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C’est une des questions les plus importantes qui se pose lorsque l’on est enceinte : peut-on oui ou non utiliser les huiles essentielles pendant la grossesse ?

Depuis 1993, donc il y a plus de deux décennies, j’ai rencontré de nombreuses femmes enceintes qui utilisaient les huiles essentielles, tant à titre préventif que curatif, et ce pendant et après toute leur grossesse. Toutefois, elles n’utilisaient pas n’importe lesquelles, et pas non plus n’importe comment.

Rappel des précautions d’emploi de mon module Aroma 1, destiné aux débutantes : les cétones à fortes doses seraient abortives et neurotoxiques, et certains sont oestrogen like. Certaines coumarines sont fluidifiantes sanguines, les alcools C20 et certains phénol méthyl éther sont oestrogen like. Donc, voici déjà une petite liste de principes chimiques dont il faut tenir compte.

Ce qui est ensuite tout aussi important :

  • la qualité des huiles essentielles utilisées
  • le bon choix par rapport à la pathologie
  • le dosage, la fréquence d’utilisation et la durée d’utilisation : ce qui différencie le remède du poison
  • l’intolérance individuelle (voir relation avec le système limbique)
  • la relativité. Je vous donne un exemple pour être plus explicite. Si je suis enceinte, que je commence une angine rouge,  je préfèrerais me tourner vers le Rem que de prendre des antibiotiques. N’oublions pas, comme expliqué lors du module 1, que les huiles essentielles sont électives, ce qui veut dire que, dotées de l’intelligence de la Nature, bien souvent ignorée de nos scientifiques, elles savent ce qu’elles ont à faire. Donc, elles focaliseront leur action sur la cible concernée, en l’occurrence ici stimuler l’immunité pour que le corps combatte de lui-même le « prétendu ennemi ». De plus, leurs actions antibactérienne et antivirale (qu’on ne retrouve pas dans les antibiotiques) justifient davantage leur utilisation.

Je pense qu’il est impératif que la femme qui utilise les huiles essentielles pendant la grossesse choisisse de se faire bien conseiller. Si elle n’y connaît rien, il est risqué de jouer à l’apprentie sorcière. J’ajouterais aussi que le moindre doute de la mère quant à l’utilisation des huiles essentielles me ferait dire « n’y touchez pas, vous n’êtes pas prête ». Car le mental a un énorme pouvoir sur la biologie, ce qui pourrait entraîner des effets indésirables produits tout simplement par le doute qui engendre la peur, donc la baisse de l’énergie vitale.

Mais laissez-moi terminer par une de mes plus belles histoires recueillies au magasin, histoire récente qui illustre que l’enfant peut aussi être rassuré par l’odeur qu’il connaît, lorsque sa maman ira accoucher dans un lieu aux odeurs inconnues.

Cette future maman, qui avait suivi le cours d’Aroma 1 et qui avait utilisé les huiles essentielles avant sa grossesse, donc qui en connaissait bien les actions, était grande utilisatrice du Rem et du RemOr depuis des années.

Sur mon conseil, elle avait choisi le RemOr pour son côté plus câlin, plus serein, pour cette période merveilleuse. Elle décida donc de l’utiliser pendant toute la grossesse, dans la salle d’accouchement, dans la chambre du bébé, à la maternité, et bien sûr à la maison. Pendant cette période, cette maman n’est pas tombée malade. Ce petit enfant, que je vois de temps en temps, n’est jamais malade non plus ! Il dort bien, est serein, mais a surtout deux parents attentifs qui s’en occupent beaucoup. Et l’Amour de parents attentionnés est l’ingrédient le plus fort pour renforcer le système d’énergie vitale du tout petit. Venez sentir le Rem, RemCi et RemOr à la Boutique Vie et Santé, rue de la Sirène à Liège !

En conclusion, plus on maîtrise un sujet, plus on sait ce qu’on peut faire, ou ne pas faire. Le corps est en accord avec la Nature dont il est issu, à qui sait bien l’utiliser. N’importe quel ingrédient chimique peut causer tôt ou tard des effets secondaires indésirables. A vous de vous informer, de vous former, pour un monde meilleur !