Séjour de remise en forme en Cappadoce
du lundi au vendredi : 26/5 au 30/5 OU 25/8 au 29/8/2025
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C’est vraiment une question qui revient souvent : les antibiotiques ou les huiles essentielles ? Je me la suis posée aussi lorsque ma vie a pris un énorme tournant (voir l’article) : les antibiotiques ou les huiles essentielles pour les problèmes ORL ? Pour cela, il me semble nécessaire de faire le point. L’humanité s’est toujours soignée, entre autres, avec les simples, jusqu’à l’avènement des premières molécules de synthèse, faisant leur apparition vers la fin du 19e siècle.
Il y a des milliers d’années de connaissances de l’utilisation des plantes médicinales, en Chine, en Inde, pour ne citer qu’eux, mais la liste peut être facilement allongée. Il faut reconnaître que les médecins indiens et chinois ont encore beaucoup à nous apprendre de ce savoir plus que millénaire, sur l’utilisation des plantes médicinales. Notre herboristerie traditionnelle est, quant à elle, vieille seulement de quelques siècles. La médecine des plantes donc a toujours accompagné l’homme, depuis sa venue sur terre. Les molécules de synthèse, elles, ont tout juste un bon petit siècle …
J’ai consommé peu d’antibiotiques, et j’en ai surtout vu les dégâts sur mon enfant. Tous les mois, il devait en prendre pour une trachéite, qui forcément est devenue chronique. Quand j’ai découvert les huiles essentielles, une remise en question de mon système de croyance s’imposait : les antibiotiques ou les huiles essentielles ? En 1993, je décidai d’arrêter les antibiotiques et d’utiliser une synergie d’huiles essentielles que j’ai nommée REM. Tout le monde intéressé par l’aroma en région liégeoise connaît le Rem depuis que je le distribue, dès 1993 à mon ancien showroom. De 2000 à fin juin 2020, il était vendu en exclusivité à ma Boutique Plaisirs d’Essences. Vous pouvez à présent le retrouver dans ma Boutique en ligne, ou à la Boutique Vie et Santé rue de la Sirène à Liège. Les milliers de stagiaires qui en ont eu connaissances dans les formations que j’anime depuis mai 1994, ou dans celles de mes élèves qui donnent cours, l’ont adopté. Des milliers de personnes l’utilisent donc avec grand bonheur.
Là, je pense qu’il est vraiment important que je vous donne mon avis. Tout le monde sait qu’un antibiotique tue tout ; pas de distinction entre les bonnes ou les mauvaises bactéries. Déjà, pour moi, on a tout en nous. C’est le développement anarchique qui est plutôt le vrai problème. Et ce développement anarchique est lié de très près à nos émotions, qui font déséquilibrer notre terrain, laissant tel micro-organisme se développer plutôt qu’un autre. Tout ce qui est infiniment petit et nous compose a un rôle à jouer dans notre écosystème interne, pour le maintenir en vie. Des milliards de bactéries nous habitent pour garder l’équilibre de cet écosystème interne. Les micro-organismes sont partout : dans votre salive, on retrouve des staphylocoques, les acariens sont de vrais éboueurs de nos peaux mortes, sans certains vers, la maladie de Crohn s’installe … pour ne citer que quelques exemples parmi tant d’autres.
Alors, quand on envoie une bombe H dans notre corps, imaginez les dégâts !? C’est vrai, on est certain de tuer l’ennemi, mais à quel prix et pour combien de temps ? Soit bien souvent s’installera la chronicité du problème, à force d’en prendre régulièrement : la sinusite devient chronique, la bronchite devient chronique, la trachéite devient chronique…, soit, après un certain temps, on « attrapera », en plus, un terrain allergique ! Et je ne parle même pas des animaux qui ont été torturés et le seront encore pour cette science sans conscience. Car l’âme n’est jamais abordée dans les cours de médecine, et l’animal est un objet à exploiter. A quand un retour aux sources, à la médecine de la terre, à la médecine de l’âme dans ce monde profane ? A bien réfléchir donc, avant de choisir entre les antibiotiques ou les huiles essentielles.
Une huile essentielle, elle, est élective de par sa nature. Elle connaît bien sa « mission », elle sait à quel type de bactéries elle doit s’attaquer pour réguler la prolifération inadéquate. Elle n’aura pas d’effets secondaires défavorables. Elle évitera la chronicité en renforçant le terrain, pour que le corps réapprenne lui-même à s’auto-réguler. Pour cela, il faut bien la choisir, bien la doser, et savoir sur quelle durée la prendre, mais surtout de quelle manière l’utiliser. Elle agira sur plusieurs endroits en même temps, car elle est multifonctions. En plus, elle sent bon, nourrit notre système limbique de souvenirs très anciens, du temps où l’homme faisait un avec la Nature. Les micro-organismes, elle les connaît mieux que l’homme scientifique, qui exploite au lieu d’installer le dialogue avec tout ce qui vit. Elle apporte la joie car elle est chargée de vie. Elle éveille la conscience quand on est prêt à l’écouter. Les plantes aromatiques ont toujours été utilisées par les guérisseurs, qui leur reconnaissent une âme.
L’huile essentielle fait partie de la médecine des simples. Pendant des siècles, on la rencontrait dans les herboristeries. Elle fut ensuite rejetée par la gente scientifique qui criait au charlatanisme pour éviter toute concurrence. Elle est à présent prise en otage par cette même gente scientifique qui veut la monopoliser, l’exploiter, la réduire à l’objet à haut rendement commercial
C’est là le point de départ d’un chemin erroné, d’un chemin qui va asservir l’humanité au nom de l’argent. Béchamp parlait de rééquilibrer le terrain. Pasteur de tuer l’ennemi. Le temps a donné raison à Béchamp. Malheureusement, Pasteur avait séduit la gente financière, qui allait diriger la médecine vers cette voie erronée, mais à très haut potentiel de rendement économique. Même si Pasteur avait dit sur son lit de mort : « Béchamp avait raison, le microbe n’est rien, le terrain est tout », c‘était trop tard. Toutes les études médicales étaient engagées à coups de millions de dollars dans la voie de la recherche pasteurienne. Et là, le choix entre huiles essentielles ou antibiotiques était vite fait. Malgré que des études ont déjà démontré, fin du 19e siècle l’effet de l’huile essentielle de thym sur le staphylocoque, toutes ces communications seront mises dans un grand « tiroir ». Rien ne peut déranger ce système qui va régenter le monde et enrichir une élite. Au nom de cette science sans conscience, l’homme va connaître la dictature médicale mondiale, et les animaux devenir des martyrs.
Pas facile de sortir du rang quand on est médecin car on doit obéir à l’ordre, prescrire du chimique. Heureusement, quelques médecins se dirigent chaque année vers la voie de Béchamp, que ce soit par l’homéopathie, la phytothérapie, l’aromathérapie … ce sont les « jedi des temps modernes » ! Je vous souhaite vraiment de trouver sur votre chemin un de ces « jedi », un vrai, un passionné de la vie et non de l’argent et de la notoriété. Voyez aussi mon article sur le Dr Bach, la médecine par les simples.
Si vous voulez faire votre chemin seul(e), faites beaucoup de recherches, mais sachez qu’un bon médecin à vos côtés est beaucoup plus intéressant, plus rassurant. On est plus fort à deux ! Mon expérience peut me le faire dire.
Vous l’aurez certainement deviné, tout est relatif en ce qui concerne le choix entre antibiotiques ou huiles essentielles. Moi, personnellement, maintenant, je commence par la prévention pour renforcer le terrain : draineurs, vitamines, oligo-éléments … Comme expliqué en détails dans mes formations d’aromathérapie, cela évite bien souvent d’être malade. C’est d’ailleurs ce qui devrait être enseigné aux médecins dans leurs études. Puis, si quelque chose apparaît, bien souvent suite à une émotion difficile à gérer, qui perturbe dès lors tout mon système, je me tourne vers les choses simples mises à ma disposition par Mère Nature : phytothérapie, aromathérapie, homéopathie, Fleurs de Bach, propolis, pierres … tout dépendra du besoin du moment. L’huile essentielle, à elle seule, ne peut tout résoudre. Si quand ça ne va pas, j’avais à ma disposition un plus large éventail de plantes ou minéraux (comme ceux en provenance d’Inde ou de Chine, qui ont fait leurs preuves depuis des millénaires, mais interdits par l’union européenne pour éviter toute concurrence), je ferais appel à ces plantes. J’ai testé en Thaïlande, c’est vraiment très efficace! Idem pour la médecine ayurvédique. Le rapport de la médecine ancienne, de l’homme et de la maladie, de l’homme et de l’univers qui l’entoure, est incomparable à aujourd’hui !
Donc, n’ayant plus trop le choix, en dernier ressort, si je n’ai rien d’autre de naturel à ma disposition, je me tournerais vers les antibiotiques. Car moins on en prend, moins il y a d’accoutumance, donc plus de résultats possibles. Pour moi, tout a sa place. IL faut juste trouver le bon ordre, pour éviter de devoir avoir recours aux antibiotiques de façon anarchique. Et je rappelle, tout est relatif !
Mais chose très importante, ayez recours à l’avis de votre médecin aromathérapeute, que ce soit pour un conseil judicieux concernant les antibiotiques ou les huiles essentielles. C’est très facile de faire une erreur de diagnostic quand on ne connaît rien ! Vous attirez en fonction de ce que vous émettez. Si vous restez dans vos peurs, vous n’arriverez jamais à vous guérir, vous attirerez les médecins qui n’osent pas se remettre en question, et vous prendrez toute votre vie des antibiotiques. Si vous sortez de vos peurs, que vous vous intéressez à qui vous êtes vraiment, à chercher à comprendre comment vous fonctionnez, vous trouverez sur votre chemin des médecins « jedi » qui sont dans cette démarche, et vous découvrirez grâce à eux les huiles essentielles, la phytothérapie, l’homéopathie … Et si c’est plus grave, ils sauront immédiatement vous diriger vers ce qui est le mieux approprié pour vous. Comme je l’ai toujours dit, on a le médecin qu’on mérite ! Et pensez qu’il n’y a pas qu’une seule vérité, nous ne lisons pas tous la vie avec la même grille de lecture. Le système de croyances influe sur les résultats. Pensez à relire une nouvelle fois l’article, et à visualiser la vidéo sur l’ayurveda pour entrer encore mieux dans la réflexion.
Perso, comme antibiotique, j’ai employé l’extrait de pépins de pamplemousse lors de mon covid et cela a fonctionné du tonnerre !!!
Bonjour Benevieve,
Merci pour l’information, cela pourrait être intéressant pour d’autres.
Bien amicalement,
MF
Bonsoir Marie-France,
Merci pour ces articles qui nous rappellent que nous sommes libres d’écouter notre voix/voie intérieure …
Lors de ton cours sur le développement personnel il y a plus de dix ans, tu m’as ouvert à autre chose, et j’ai appris à me faire confiance. Depuis lors, le REM m’accompagne fidèlement chaque année et a accompagné ma fille née grand prématurée dès sa première saison hivernale (elle était alors âgée de 4 mois et demi), ainsi que mon fils.
… Parlant de nager à contre courant, c’est également lors de ta formation que j’ai été exposée pour la première fois à l’idée que les vaccins ne seraient pas ce qu’ils sont. Initialement, je n’ai pas voulu y croire, mais mes expériences de vie ont fini par m’ouvrir les yeux. Il n’est toujours guère de bon ton d’oser émettre des doutes au sujet du dogme vaccinal ; cette nage à contre-courant me coûte cher, mais je continue à nager avec la force de mes convictions, pour le plus grand bien de mes enfants. Leur excellente santé est ma plus belle récompense.
Bonjour Nathalie,
Quel bonheur de te lire, cela fait comme tu dis plus de dix ans …. que tu as suivi le cours de développement personnel.
Je suis toujours très heureuse de constater que mes cours respectent mon triple objectif : développer un esprit critique, ouvrir à la créativité, retrouver son autonomie.
Et d’apprendre que tes enfants sont en excellente santé grâce à tes choix conscients et mûrement réfléchis, c’est la plus belle récompense comme tu l’écris si bien.
Merci beaucoup pour ce partage de ton expérience, cela permettra à d’autres lectrices de s’ouvrir encore, et encore.
Bien amicalement,
Marie-France
Merci pour cet article assez intéressant et vrai. Il nous apporte le courage pour nager différent des autres.
Bonjour Sandra,
Merci pour votre avis partagé sur le sujet, qui n’est que la pointe d’un énorme iceberg.
En commençant par s’éveiller, et à agir dans l’ordre des choses, c’est vrai qu’on nage à contre-courant des autres.
Alors, la force est plus présente en nous pour avoir le courage de rester libre.
Encore merci pour votre intérêt à mes actualités.
MFP