On doit le mot « radiesthésie » (du latin radius, « rayon », et du grec aisthêsis, « sensibilité ») aux abbés Bouly et Bayard. La radiesthésie est, selon la définition de l’abbé Bouly, la croyance en la faculté d’exercer cette sensibilité pour découvrir, grâce au pendule, ce qui est caché aux facultés normales, mais dont l’existence est réelle ou imaginaire.(Wikipédia)

Le prince de la radiesthésie : l’abbé Mermet.

« Devant les phénomènes de la nature il faut observer, étudier, et ne jamais s’étonner de rien ! La science est postérieure aux lois naturelles et doit leur rester soumise. Elle a le droit et le devoir d’enregistrer les faits et de les accepter après contrôle; mais elle ne doit pas les étouffer, pas plus que de les inventer.
Où serions-nous si l’humanité, depuis son origine, avait refusé de prendre en considération ce qu’elle ne comprend pas ? »

Fils et petit-fils de baguettisants estimés en Savoie, l’abbé Alexis Mermet (1866-1937) fut initié dans sa prime jeunesse à l’art de la sourcellerie. Radiesthésiste émérite, il décela des sources d’eau minérale, des métaux, des personnes disparues et surtout, révéla au monde l’existence d’un ensemble de galeries aux grottes de Lacave, dans le Lot. De plus, il fut l’un des premiers à s’adonner à l’exploration à distance, avec toujours des résultats remarquables.

Au demeurant, il fut surnommé le « Prince des sourciers », créateur du diagnostic radiesthésique et promoteur de la télé radiesthésie. Il est également l’inventeur du rayon fondamental; fondateur des corps et de divers autres modes de perception. »

En plus de tout cela, il a mis au point un pendule creux, qui permet d’y mettre un témoin (cheveux, poils…). Ce pendule est très utilisé pour la recherche d’objets, de personnes. Il est d’ailleurs toujours vendu et utilisé de nos jours.

Ma rencontre avec la radiesthésie commence en 1987

 

radiesthésieLa radiesthésie est liée à ma rencontre avec un « parapsychologue », titre qu’il mettait sur la plaque de sa maison. C’est la première fois que je remettais mon destin entre les mains d’un médium guérisseur, qui se servait d’un pendule.

Mais là, dans cette période critique de ma vie, lors de ma décision de divorcer pour me sauver, j’avais perdu l’appétit et je me laissais mourir de faim. J’avais beau me résonner, mon corps n’acceptait plus d’ouvrir la bouche pour manger. Je fus ainsi guidée vers feu Monsieur L.

Cette seule consultation m’a permis de retrouver goût à la vie. Il avait trouvé les mots que je devais entendre. Il avait aussi pendulé pour me conseiller de manger des graines de fenugrec : première rencontre avec la radiesthésie. J’avais à l’époque 27 ans. Ces graines m’ont réellement réouvert l’appétit, et sauvé la vie !

Puis, la vie a voulu que je rencontre, à 38 ans, une guérisseuse qui m’enseigna l’art de la radiesthésie. Grâce à elle, je compris que l’on pouvait mesurer beaucoup d’autres choses : géobiologie, entités, origine des maladies… et programmer ses pendules pour différentes fonctions, ce que je fis à l’époque.

J’abandonne la radiesthésie pour la communication avec le pouls… ?

Je me suis servie du pendule jusqu’à mes 40 – 43 ans, où j’ai découvert avec le Docteur Janine Fontaine, une autre manière de communiquer avec l’invisible : le pouls. Puis, un autre médecin homéopathe, Martine, qui suivait les cours de Janine avec moi, m’a appris à transférer le pendule dans mon bras, plus pratique me disait-elle, pour les patients « fermés au monde invisible ». En parlant de ce pendule perso, elle l’appelait « Tonton Jules ». De moi-même, j’ai fait le transfert du bras vers le doigt. Je prends le pouls et mon doigt me donne la réponse du corps en direct, comme la kinésiologie.

Le traradiesthésievail du monde des méridiens subtils, des chakras… me conduit à nouveau à renouer avec mes pendules. C’est comme ressortir d’un tiroir d’anciens compagnons. Mes compétences s’étaient élargies à d’autres introspections, comme la géobiologie et les mondes parallèles, et je me sentais davantage attirée par la radiesthésie pour travailler sur les planches, qui sont en rapport avec les éléments à examiner dans ces vastes domaines.

De toute mon existence – j’ai atteint déjà la soixantaine -, je peux affirmer que tous les médecins homéopathes, les géobiologues, les médiums que j’ai rencontrés, qui travaillent avec la radiesthésie, sont capables d’aller beaucoup plus loin que tous ceux qui ne l’utilisent pas dans leur pratique. Pour moi, définir l’origine d’une maladie est très important. J’aime savoir quand il m’arrive quelque chose, si déjà cela m’appartient, si c’est à quelqu’un de ma famille (transgénérationnel), ou si c’est dû à mon alimentation, à un problème de géobiologie, à une entité… Grâce à la radiesthésie, je peux avoir la réponse et savoir ce que je dois faire pour harmoniser ce qui ne l’est plus.

Partager cette technique en l’enseignant

radiesthesieJ’ai donc décidé de donner mes premiers cours de radiesthésie il y a près de 20 ans, pour définir quelle huile essentielle convient le mieux. Toutes mes élèves peuvent témoigner du côté pratique ce que cela leur procure quant à choisir aussi un aliment, une Fleur de Bach, une pierre, une nouvelle maison, trouver la meilleure école pour leurs enfants, un bon médecin…

Piercing : nocif ou pas pour votre santé ?

Utiliser le pendule va aussi permettre de vérifier que certaines de vos maladies ont comme origine vos piercings ! Hé oui ! Mon expérience me l’a prouvé de nombreuses fois. Je vous réserve un prochain article rien que sur le sujet. Mais déjà, grâce à la radiesthésie, vous pourrez déterminer si oui ou non, votre piercing ou votre tatouage ont un effet nocif sur votre santé.

C’est une technique qui permet avant tout d’apprendre à mieux vous connaître, ainsi que le monde qui vous entoure. Voir le contenu de la formation et les dates du prochain cours : une journée suffit !